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19 septembre 2007

Chers amis, Bienvenue sur mon Blog.

En créant ce  lien direct entre nous, je souhaite que nous puissions échanger sur tous les sujets qui nous intéressent pour construire le progrès de notre société du 21° siècle : situer notre place dans la mondialisation, renforcer et enrichir notre culture démocratique, définir quelles valeurs nous ambitionnons pour l' individu et  quel projet collectif nous voulons pour notre pays, notre Europe, notre monde...

J’attends vos réflexions, analyses, questions, pour un échange sans langue de bois, ni complaisance.

Merci de vos commentaires!

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Commentaires
J
J'ai trouvé un blog intéressant.<br /> <br /> Tu peux le diffuser à tes contacts.
J
AFP - Vendredi 12 octobre, 19h45 <br /> <br /> PARIS (AFP) - 71% des électeurs de gauche se disent pour une candidature Royal en 2012 selon un sondage CSA pour Marianne.<br /> <br /> Au total 71% des électeurs de gauche contre 27% souhaitent que Ségolène Royal soit candidate à l'élection présidentielle de 2012, un souhait beaucoup moins partagé par l'ensemble des Français (46% pour, 48% contre), selon un sondage CSA pour Marianne rendu public vendredi.<br /> Ceux qui ont voté pour elle au premier tour de la présidentielle sont 68% à penser que ses chances d'être élue sont grandes, 31% les jugeant faibles. Dans l'ensemble de l'électorat, seules 40% des personnes interrogées jugent que ses chances de succès seraient grandes, contre 55% qui les voient faibles.<br /> Si le second tour de l'élection présidentielle se rejouait dimanche prochain, 56% des Français indiquent qu'ils voteraient Nicolas Sarkozy et 44% Ségolène Royal.<br /> <br /> Et 65% considèrent que la politique économique et sociale de la France ne serait ni meilleure ni moins bonne si elle avait été élue le 6 mai, 17% affirmant qu'elle serait moins bonne et 13% meilleure.<br /> <br /> Pour 69% des personnes interrogées, c'est le PS qui porte la reponsabilité de l'échec à l'élection présidentielle, un pourcentage qui monte à 81% dans l'électorat de Mme Royal au second tour.<br /> Pour diriger ce parti, c'est le maire de Paris Bertrand Delanoë qui apparaît comme le candidat favori des Français, 28% le citant en premier, devant Ségolène Royal (18%) et Laurent Fabius (14%).<br /> M. Delanoë est aussi le favori des électeurs de Mme Royal au premier tour de la présidentielle: 48% contre 47% à l'ancienne candidate socialiste.<br /> Sondage réalisé par téléphone le 10 octobre auprès d'un échantillon national représentatif de 1.003 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible à la Commission des sondages
J
AFP - Lundi 8 octobre, 17h43 <br /> PRAGUE (AFP) - La socialiste française Ségolène Royal, interrogée lundi à Prague par l'ex-président tchèque Vaclav Havel sur l'éventualité de sa candidature à la présidentielle de 2012, lui a répondu qu'elle se poserait la question "en temps voulu".<br /> "Il m'a demandé par deux fois si je comptais être candidate en 2012", a confié Mme Royal à la presse, à l'issue d'un entretien privé avec Vaclav Havel, organisé en marge du "Forum 2000", conférence qui réunit chaque année à Prague des politiciens et des penseurs de différents pays.<br /> L'ex-candidate socialiste à la présidentielle française a répondu que "pour l'instant elle se consacrait à une entreprise de rénovation politique et théorique à l'intérieur de son parti mais qu'elle se poserait cette question en temps voulu".<br /> "Je suis dans une phase de travail et de réflexion", a-t-elle déclaré à l'AFP à l'issue de sa rencontre avec l'icône de la dissidence anti-communiste en Europe centrale.<br /> Le thème de la rénovation politique a ensuite figuré au centre d'un entretien avec le chef de l'opposition social-démocrate et ancien premier ministre tchèque Jiri Paroubek (CSSD), battu lors des dernières législatives de juin 2006.<br /> Dans la matinée, Mme Royal a participé à la session d'ouverture du Forum, aux côtés notamment de l'ancienne secrétaire d'Etat américaine Madeleine Albright. Elle a axé son intervention sur la nécessaire liberté économique et la responsabilité de l'Europe vis-à-vis du développement social, de l'écologie, de l'équité et de la justice.<br /> "L'Europe ne doit pas s'abandonner à l'insidieuse bureaucratie ni au capitalisme sauvage qui écrase les libertés", a-t-elle dit avant d'appeler de ses voeux un "ordre juste".<br /> Présidé par Vaclav Havel, le Forum 2000 s'est ouvert dimanche soir sur le thème "Liberté et Responsabilité" et doit se conclure mardi. La visite de Mme Royal à Prague intervient alors même que le président français recevait à Paris le premier ministre tchèque Mirek Topolanek.
J
Par Par Elahe MEREL et Christine COURCOL AFP - Samedi 29 septembre, 19h47PARIS (AFP) - Silencieux depuis l'été, Laurent Fabius est revenu samedi sur le devant de la scène, se posant en "responsable engagé" de la reconstruction de la gauche devant plusieurs centaines de socialistes dont certains d'autres sensibilités, à l'exception des partisans de Ségolène Royal.<br /> <br /> (publicité)<br /> M. Fabius, qui avait été silencieux depuis l'été -un "temps de latence" qui lui semblait nécessaire après la défaite- a organisé dans les locaux de l'Institut d'études politiques une réunion sur le thème "Reconstruire la gauche", devant quelque 700 personnes.<br /> <br /> Les fabiusiens étaient en nombre, mais avaient aussi été invités des représentants des autres sensibilités, tels le strauss-kahnien Jean-Christophe Cambadélis, Anne Hidalgo, une proche du maire de Paris Bertrand Delanoë, ou encore le sénateur Jean-Luc Mélenchon.<br /> <br /> M. Fabius a rassuré ses partisans en assurant qu'il serait "un responsable engagé". Il a indiqué qu'il ne voulait plus être, comme il l'avait dit avant l'été, "un sage actif", parce que selon lui on retient trop le premier mot, mais "un actif sage".<br /> <br /> Refusant de participer à "des luttes intestines et fratricides" au PS, il a assuré néanmoins : "Je ferai entendre ma voix dans le débat politique de demain". "Nous avons besoin de déconstruire la droite et de reconstruire la gauche", a affirmé l'ancien Premier ministre.<br /> <br /> M. Fabius n'a récusé aucune de ses convictions -"nos valeurs n'ont pas pris une ride"- tout en assurant que "certaines de nos propositions concrètes devront s'adapter", notamment sur l'innovation et la compétitivité. Il a aussi mis en garde la direction du PS sur la stratégie d'alliance en vue des municipales, rejetant tout accord avec le MoDem de François Bayrou.<br /> <br /> L'ancien Premier ministre sort du bois au moment où son ex-rival Dominique Strauss-Kahn s'en va à Washington pour diriger le FMI, et que Lionel Jospin est de retour avec son livre "L'Impasse", très acéré contre Ségolène Royal.<br /> <br /> Cette réunion des fabiusiens vient après une réunion similaire organisée il y a deux semaines autour de Lionel Jospin.<br /> <br /> Le but affiché est de "rassembler" tous les socialistes mais aucune personnalité proche de Ségolène Royal ne participait à cette "journée d'échanges et de réflexions".<br /> <br /> "N'ont été conviés que les responsables politiques qui ont montré qu'ils avaient envie de discuter avec nous" en matière "de conception du parti et de stratégie", précise Claude Bartolone, lieutenant de l'ancien Premier ministre.<br /> <br /> Le premier secrétaire François Hollande n'était pas invité : "On attend de lui qu'il clarifie sa position", dit un des organisateurs.<br /> <br /> Arnaud Montebourg, ancien porte-parole de Ségolène Royal, a souligné à son arrivée que "les socialistes sont trop divisés et doivent s'unir". Affichant "sa fidélité et son amitié" envers Mme Royal, il a pris ses distances devant la presse : "J'ai aussi un goût particulier pour ma liberté".<br /> <br /> Benoît Hamon, un des quadras montants du PS, s'est dit "content que ce dialogue existe". "Ségolène n'est pas invitée, mais est-il nécessaire d'inviter ceux qui ne seraient pas venus ?", dit-il. "On a besoin de renouveler l'orientation et l'image du PS", affirme ce proche de Henri Emmanuelli.<br /> <br /> Pour les strauss-kahniens, sans chef de file depuis le départ de DSK, l'heure est à la réflexion : "Les socialistes doivent moins s'occuper des présidentiables que de faire la clarté sur les idées", affirme Jean-Christophe Cambadélis, dans une allusion aux ambitions de Ségolène Royal.<br /> <br /> Il a trouvé le discours de Fabius "oecuménique et recentré".
J
AFP - il y a 2 heures 26 minutesPARIS (AFP) - L'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin s'est montré "sceptique" dimanche quant aux résultats à attendre de la réforme des heures supplémentaires, accusant le gouvernement de vouloir "reprendre" aux salariés les éventuels bénéfices de cette mesure.<br /> <br /> (Publicité)<br /> Interrogé sur France 5 sur le point de savoir si la nouvelle législation sur les heures supplémentaires donnerait du pouvoir d'achat, M. Jospin a affirmé que cela dépendrait "de ce qu'on va rependre aux salariés".<br /> <br /> "S'il y a des franchises médicales, s'il y a une augmentation des cotisations sociales, et si pour faire bon poids ensuite, quand on aura passé les élections municipales, on met en place une TVA sociale, alors on reprendra aux salariés des milieux populaires beaucoup plus que n'auraient pu donner d'éventuelles heures supplémentaires détaxées", a-t-il déclaré lors de l'émission Ripostes.<br /> <br /> Selon la nouvelle législation qui entre en vigueur lundi 1er octobre, les heures supplémentaires seront défiscalisées et exonérées de cotisations sociales.<br /> <br /> Par ailleurs, a ajouté M. Jospin, dans la réforme des heures supplémentaires, "la question salariale est complètement escamotée".<br /> <br /> "Le slogan de Nicolas Sarkozy, travailler plus pour gagner plus, signifie qu'il est exclu qu'on gagne plus si on ne travaille pas plus. C'est à dire que la question de l'augmentation des salaires qui serait légitime", est absente, a-t-il ajouté.
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